En surmontant les difficultés , ou simplement en les
évitant, nous continuons à vivre et à trouver le bonheur. La vie se ressemble à
une roue qui pivote sans cesse , mais ne s'arrête et ne recule jamais .
Chaque jour cette roue tourne
d’une manière différente,
cela dépend des réussites ou des l'échecs et de différents types d'événements
qui se passent dans notre vie. La vie est la meilleure chance de vivre
.La vie est pour vivre, pour s’égayer,
pour s’attrister, pour apprendre et finalement pour devenir
plus fort . Il faut simplement la
jouir . Chaque jour est un nouveau chapitre dans la vie.La vie est une, mais
ses pages sales et propres sont nombreuses.
Nous ne pouvons plus déchirer les pages
sales, car elles sont toutes bien liées
et elles nous font survivre et forcir
.Ce sont nos parents qui nous ont
donné la vie , et le dieu a donné la vie à nos ancêtres . C'est la même vie avec les moments heureux et tristes .
La vie, elle est tout ce que nous avons chacun de nous
... nos
amis , nos parents, notre école , nos connaissances , et toutes les émotions constituent la vie. Il y a plusieurs conditions
importantes qu'on doit suivre au
cours de la vie. Tout
d'abord la vie doit avoir un but , on ne doit pas gaspiller
en vain les moments de la vie. Il faut essayer d'apprendre de nouvelles choses chaque jour , Ce ne sont pas de conditions simples,ceux-ci peuvent aussi servir de clé du bonheur .
Et à la fin on
doit remplir les pages de la vie
d'une manière qu'on te souviens seulement
pour tes actes. Il y a des pages que personne ne peut lire, donc
tu es en face de ta conscience : Peu importe comment est –elle sale ou bien tout au contraire pure et brillante , , c'est votre vie , et
vous devez la terminer avec dignité.
Traduction
par A. Vardanyan
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La vie
Vie;
un mot
doux et beau. C’est
un phénomène complex.
L’homme sème les
graines et après un
terme court, celles-ci
germent et se
multiplent.
L’air, la terre, l’eau et
le soleil donnent
la vie à la
sémence . on peut remarquer
la croissance de
la nature au
printemps. Le printemps
donne la vie :
on voit l’éveil de
la nature et
l’homme s’émerveille en
voyant tout cela. Ce
ne sont pas
que les plantes
qui naissent et qui vivent
mais aussi le
monde animal fait
la même
chose . La vie
de l’homme dépend
de sa mode
de vie; chacun fait
sa vie à
sa mode. Au cours
de sa vie
l’homme doit être capable d’atteindre
son but, de
faire tout son
possible pour réaliser
ses rêves.
Nous vivons notre
vie une seule
fois et nous
devons la vivre
d’une telle manière
pour ne pas
avoir pitié de ces
années passéés.
L’individu
Comment puis -
j’interpréter cette photo? Et toi? Eh, bien, c’est moi
qui commencerai le
premier, toi, tu
peux y réfléchir. Ainsi, j’intitulerai cette
photo ‘’L’individu’’. Regarde, elle
se distingue des autres
et ça veut
dire qu’elle est
seule. Elle est plus
développée et plus mûre. Qui sait, combien de difficultés a-t- elle
surmontés pour prendre cette
forme.Mais son décès
n’est pas loin. Bientôt
quelqu’un l’avalera, en pensant
bien-sûr à son
estomac-même.
Il est
clair qu’elle est
un membre de
la société qui
se trouve dans
le second plan
de la photo .
J’ai fini et
je pense que tu
a bien
réfléchi. C’est ton tour, commence.
Traduite par
Lilith Soroyan
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Le ballon était déjà dans le ciel
Le ballon était
dèjà dans le ciel.
Cet homme
, habillé noir,
habitait à côté des
autres gens , mais pas
comme ceux-ci. Il s’est isolé
dans son manteau
noir et dans
son chapeau à larges bords
ayant vécu toute
une vie. Cet home
sans éclat n’était
pas du tout membre de
la simple obscurité. Lui , il habitait avec
son manteau noir
en tâchant d’atteindre
le ciel et de
trouver son sauvetage.
Il était constamment
orienté vers le
but choisi.Il y a
déjà plusieurs ans
qu’il cherchait , et trouvait
de différents moyens.Tant
il s’approchait, autant le
chemin semblait plus
long et plus attrayant. Mais
comme toute chose le
chemin a perdu
son charme.Sans avoir
allé à la paresse
il a compté
tous les kilomèters
passés. Mais au
moment oú il
pensait de nouvelles voies
en marchant dans son
obscurité , l’un des
passants a jeté une
botte de cordes
multicolores à la pubelle. Il
l’a prise et il
a pensé
qu’est-ce qu’il pouvait
en faire. Le
lendemain en passant
il était déjà très
attentif envers les
gens,les choses et
beaucoup plus attentif
envers les poubelles.
Cinq ans plus
tard. Il avait déjà
trente-cinq ans. Son
attention envers les
poubelles lui a fait
comprendre que les
gens sont sombres
et stupids. L’obscurité était
dans cette sottise. Et
comme il est
étonnent , il a trouvé
son sauvetage dans les
poubelles. Non , lui , il
n’était ni éboueur, ni mendiant.
Il a ramassé tout
ce que les
gens sots jettaient
à la pubelle. Il a
préparé son ballon
qui ne ressemblait
pas à son manteau noir.Son
ballon avait des couleurs
et se levait
vers le ciel,
vers son but .
L’homme était
dans le ballon.
Traduite par
Eléne Karapetyan, élève du groupe
du français communicatif
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Ma ville
du soleil
Ma ville
du soleil est
un de mes rêves irréels,
imaginaires et en même temps
sincères. En tant que
j’imagine elle doit être située
au bord de
la mer, au sein
de la nature charmante.
Dans ma ville
du soleil il n’y
aura pas de réserves naturelles, de parc zoologiques:
les animaux seront
libres. Les gens seront
independants mais pas
fainéants. Ils vivront heureux
et ils seront
contents de leurs
vies. Ils apprécieront tout
ce qu’ils possèdent. J’habiterai au
bord de la mer,
cela est
très cher pour
moi. J’y habiterai pour l’admirer
toujours. Ma ville n’aura
pas de frontières, mais les
gens seront autant
intéligents qu’ils connaîtront ˂ leurs frontières˃, ils commprendront de
quoi ils ont
besoin . Tout ce qui
est important c’est
que dans ma
ville du soleil
régneront la libérté. l’indépendance et
la libre pensée. D’après moi,
la ville qui est considérée
libre, ne peut pas avoir de
roi, car le mot
˂ roi ˃ signifie
la personne à
qui tout le
monde obéit.
Voilà comment , j’imagine
ma ville du soleil
.
Traduite
par Aida Grigoryan, élève
du groupe
du français communicatif
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